Les avantages du végétarisme

Personnellement, je fais des cures de 100% cru pendant plusieurs semaines, le reste du temps je suis aux alentours de 70%, cela varie suivant les saisons, l'été c'est plus facile de manger du cru.

Le fait d'être végétarienne depuis 10 ans m'a permis d'être en accord avec moi-même.

D'un point de vu hormonal, ne pas manger de viande me permet de ne pas absorber des hormones sécrétées par les animaux lors de leur abattage, telles que l'adrénaline et le cortisol. Ces hormones ont un impact sur le fonctionnement du corps humain lorsqu'elles sont ingérées par le biais de la viande.

De plus, la viande est considérée par Bovis, l'inventeur de l'échelle des taux vibratoires, comme un aliment "inférieur" au niveau énergétique.



L'échelle vibratoire de Bovis

Pour mesurer la vitalité intrinsèque des aliments, Bovis a conçu le "biomètre". Il s'agit d'une règle graduée de 0 à 10 000 appelée couramment aujourd’hui par les radiesthésistes "échelle de Bovis". Son procédé consistait à placer un aliment à l’extrémité de son biomètre, au-dessus duquel il déplaçait lentement son pendule depuis le point zéro. "Le pendule de cristal se met à tourner lorsqu’il arrive au-dessus de la graduation de la règle qui correspond à la longueur d’onde vitale de l’aliment. Selon Bovis, un aliment "normal" possédait une énergie vitale d’environ 6 500 UB (unités Bovis) équivalentes à autant d'angströms (unités de mesures des longueurs d'onde des radiations lumineuses.

Il classa

- au-dessus de 6 500 Å, les aliments riches ou "supérieurs" comme les fruits frais bien mûrs, les légumes crus ou cuits à l’étouffée, le pain biologique, les oléagineux et les œufs du jour.

- en-dessous, les aliments dits "de soutien" comme le lait frais, les légumes cuits à l’eau bouillante, les poissons de mer cuits,

- et en bas de l’échelle, les aliments dits "inférieurs" comme la viande cuite, le café ou le pain blanc.

Les aliments "morts" n’émettraient quant à eux aucune radiation décelable (c’est le cas des conserves, de la plupart des alcools et des sucres raffinés).

Notons que la radiation des fruits et légumes chute très rapidement après la cueillette: alors qu’une pomme dans l’arbre rayonnerait à 7 000 UB, deux jours plus tard, sa vitalité ne serait plus que de 5 000 UB.

Le même affaiblissement se produit avec certains types de cuisson comme la cocotte-minute, l’eau bouillante prolongée, les grillades, la friture: elles altèrent significativement la qualité des aliments, voire la détruisent complètement comme c’est le cas du micro-onde.

Les photos énergétiques de Kirlian

A la même époque qu'Alfred Bovis, dans les années 1940, à l’autre bout du globe, d’autres chercheurs ont fait des découvertes significatives quant à l’énergie vitale absorbée et rayonnée par tout élément vivant et à la possibilité de la mesurer avec des procédés de plus en plus pointus.

C’est accidentellement que l’électricien russe Semyon Kirlian inventa ce que l’on appellera plus tard "l’effet Kirlian". Grâce aux "photos Kirlian", qui photographient le champ énergétique de tout ce qui est vivant, Kirlian et son épouse notèrent une diminution des rayonnements lumineux au fur et à mesure du vieillissement d’une plante ou d’un fruit, mais aussi en cas de maladie. Ils comparèrent également le champ énergétique d'un aliment cru puis cuit et d'agriculture conventionnelle ou biologique.

Une question d'énergies

Lorsque je fais des cures d'alimentation vivante, c'est à dire 100% crue, je constate une augmentation de mon ressenti, une augmentation de mon énergie vitale ainsi qu'un très bon moral et une plus grande connexion avec la nature, mon environnement et l'énergie subtile.

Je me surprends à être en admiration, voire en extase devant un coucher de soleil ou un magnifique arbre. Cela permet de se recentrer sur ce qui est essentiel.

En parallèle, nous vivons actuellement une augmentation du taux vibratoire terrestre, de tous les êtres vivants et donc du taux vibratoire humain: il est passé de 6 500 UB dans les années 1980 à 40 000 UB début 2020. Et depuis le milieu du mois de juillet 2021, il a été mesuré une augmentation extraordinaire du taux vibratoire de la Terre, passant à plus de 150 000 UB.

C'est donc pour des raisons de santé mais aussi énergétiques et spirituelles que je veille à garder une place importante au végétal et au cru dans mon alimentation quotidienne.

Angélique Ponsonnet

Voir aussi les articles

- l'article "Mesurer l’énergie vitale de nos assiettes" sur le site "Inexploré".

- "Les 3 catégories énergétiques d’aliments" sur le site "Economie Intuitive".

- "Vibrations des aliments et unités Bovis" sur le site "Naturolistique".

Newsletter de janvier 2022

Consommer de saison

L’alimentation est fondamentale pour rester en bonne santé, et l’hiver ne déroge pas à cette règle ! Il vaut mieux éviter une nourriture trop lourde et trop grasse et favoriser l’apport de vitamines, minéraux et antioxydants.

Petit tour d’horizons de certaines familles incontournables.

par Perrine Huguet

responsable du magasin

Biocoop Bionacelle d'Annonay

Les fruits et légumes

Pour lutter contre les troubles liés au froid tels que le rhume, il faut faire le plein de vitamines C et d’antioxydants. Les fruits et légumes sont là pour répondre à ce besoin, notamment les kiwis, les agrumes et les choux, riches en en antioxydants!

Les céréales et légumineuses

Pour compenser les dépenses énergétiques dues au froid, on s’orientera vers des mélanges de céréales complètes et de légumineuses, très intéressantes par la qualité de leurs protéines végétales (lentilles, riz, quinoa…).

Les poissons et les huiles

Riches en acides gras (insaturés pour certains), les poissons et les huiles sont des alliés de poids pour une santé optimale l’hiver. À noter que les poissons tels que le hareng, le saumon, la sardine ou le maquereau contiennent aussi de la vitamine D, indispensable au bon fonctionnement de l’organisme.

Et bien sûr…

S’hydrater correctement reste indispensable ! L’eau doit rester la base mais tisanes et bouillons sont aussi intéressants pour nous maintenir en forme !

Enfin, nous privilégierons des produits de saison, biologiques et dans la mesure du possible locale. En effet, d’un point de vue santé, les fruits et légumes biologiques de saison correspondent mieux à nos besoins nutritionnels, sont plus riches en micronutriments, vitamines et antioxydants et sont plus nutritifs car cueillis à maturité.

Pendant l'été dernier il semblait que la vie ordinaire allait pouvoir reprendre "comme avant". Mais à l'automne la reprise de l'épidémie a remis à l'ordre du jour des restrictions de relations sociales. En octobre, nous avons quand même organisé une conférence, mais elle a été peu fréquentée. Nous abandonnons donc pour le moment les projets de rassemblements publics "en présentiel". Et donc aussi l'organisation au printemps d'un salon du bien-être.

Nous profitons donc de l'existence du site internet pour continuer à entretenir les liens au sein du "Réseau Info Santé". Et nous espérons les renforcer en produisant une newsletter à peu près mensuelle. Elle reprend sous forme de dossiers les sujets que nous avions prévus en conférences. Elle met à l'honneur les activités proposées par nos adhérents thérapeutes. Elle continue de communiquer des découvertes nouvelles sur le fonctionnement des êtres humains.